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Ça sent bon le grand large ! Brocante de Saint-Lunaire, côte bretonne. François Morel, mains dans les poches, déambule entre les étals. Au fil de sa flânerie, il tombe sur un exemplaire écorné des chansons marines de Yves-Marie Le Guilvinec, pêcheur de son état, natif de Trivagou (entre Dinan et Dinard pour les initié·es), disparu en mer en 1900 ivre de calva. En ni une ni deux, Morel décide de l’arracher aux abysses océaniques. S’ensuivent une restauration des textes, une mise en musique et surtout, en spectacle. Morel devient Le Guilvinec le temps d’une pièce de théâtre musical aux rengaines bien salées. Accompagné de ses acolytes musiciens, l’ancien fromager des Deschiens embarque son public pour Porto Rico, Zanzibar et Terre-Neuve. Il chante des œuvres, ô combien injustement tombées dans l’oubli, telles que « Avec le thon oui tout est bon » ou « Je n’irai pas à la morue sans avoir courtisé lulu ». De la pure poésie bretonne, au Escher Theater, parce que vous le valez bien.
Theatre collective Transquinquennal reunites five actresses and actors who do not speak the same language. They explore the possibilities of misunderstanding and confusion. Will they be able to communicate?
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